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vendredi 27 juin 2014
Derniers doutes clarifiés!
mercredi 25 juin 2014
À deux pas de l'agrément!
mardi 24 juin 2014
Mercredi 25
lundi 23 juin 2014
Libro: Adopción y escuela. Guía para educadores y familias
Fêtes de Juin
La fête de la Saint-Jean d'été, traditionnellement accompagnée de grands feux de joie, est la fête de Jean le Baptiste, le 24 juin.
Elle est proche du solstice d'été dans l'hémisphère nord, qui a lieu le plus fréquemment le 21 juin, exceptionnellement le 19 juin (prochaine en 2488), rarement le 20 juin (occurrences en 1896, 2008 et 2012) et le 22 juin (occurrences en 1975, au début du XXIII siècle puis en 2302)..
Le solstice d'été est fêté depuis longtemps. La fête de la Saint-Jean reprend donc des traditions pré-chrétiennes.
Les feux de la Saint-Jean, repris par les chrétiens, auraient été copiés sur les rites celtes et germaniques de bénédiction des moissons. La théorie selon laquelle ces rites seraient eux-mêmes directement dérivés du culte moyen-oriental de Baal est aujourd'hui réfutée.
Le culte du feu associé au solstice d'été se retrouve également en Chine, en Turquie, dans les rites vaudous, chez les Incas.
Le bûcher de la Saint-Jean se pratiquait jadis à Paris, les autorités de la ville se chargeant de son organisation. Le feu était traditionnellement allumé par le roi de France en personne sur la Place de la Grève (actuellement Place de l'Hôtel-de-Ville), coutume qui perdura jusqu’en 1648, date à laquelle Louis XIV officia pour la dernière fois.
lundi 16 juin 2014
Rencontre EFA (Enfance et Familles d'Adoption)
Il ne suffit pas d'acquiescer au projet d'adoption des futurs parents ou d'accueillir l'enfant comme on accueille un voyageur de passage, mais de s'assurer que l'enfant trouvera toute sa place dans la lignée familiale.
Quel est rôle des autres membres la famille dans l'inscription de l'enfant, notamment celui des grands-parents ?
Un numéro qui rassemble de nombreux témoignages de tous les acteurs concernés autour d'un sujet rarement abordé.
À noter : un émouvant échange de courriers entre une mère adoptive et une grand-mère par adoption.
Éditorial
Donner du sens à l'histoire de nos enfants Geneviève Miral
Dossier
La famille élargie : un terreau où prendre racine Claire Tridon
Si faire famille en adoptant un enfant est d'abord un projet intime, celui d'un couple ou d'une personne seule, la famille élargie – futurs grands-parents, cousins, oncles et tantes – est le premier cercle confronté mais surtout impliqué dans ce projet.
Lire cet article
La famille élargie : témoignages croisés
Adopter un enfant, c'est s'inscrire dans une tradition familiale en assurant le renouvellement des générations, mais c'est aussi écrire une histoire inédite. Les récits croisés des parents, grands-parents, cousins témoignent de ce paradoxe. Informée, parfois associée très tôt au projet, la famille élargie l'intègre à son rythme propre, sa capacité à composer avec la différence favorise la greffe symbolique et l'inscription de l'enfant dans sa nouvelle famille.
Le rôle et la place de la famille dans la procédure d'agrément
Point de vue et pratique dans un département français Sandrine Jahnke
L'accueil de l'enfant au sein de la famille élargie n'est pas d'emblée présente à l'esprit des candidats. Pourtant, simple ou plénière, l'adoption est une filiation entre l'enfant et ses parents mais aussi ses grands-parents, oncles, cousins... Il est donc prévu, au cours des entretiens d'évaluation, d'en faire l'objet d'un questionnement particulier.
Une décision sans appel Témoignage d'une mère
Certains font le choix de mener seuls leur projet, au point de garder le silence presque jusqu'à l'arrivée de leur enfant. Une mère témoigne et explique son choix.
De nos ancêtres autour du feu, aux grands-parents d'aujourd'hui Denise Rebondy
Parce que le groupe famille tend à perdre un peu de cohérence et à s'éparpiller dans de multiples directions, les grands-parents peuvent faire le lien entre les générations. Denise Rebondy, auteur du livre « D'où je viens, moi ? », nous aide à trouver les sentiers de la transmission.
D'une génération à l'autre...Échange épistolaire
Une mère adoptive écrit à sa mère... Une grand-mère, touchée à la lecture cette lettre, répond.
Les grands-parents adoptifs sont-ils des grands-parents comme tout le monde ? Deux lettres publiées dans la revue « Adoption today » qui mettent en lumière certaines spécificités.
Et chez nos voisins européens ? Françoise Toletti
D'autres pays européens, comme l'Italie, ont une vision de la famille beaucoup plus large que la nôtre. L'implication des proches est considérée comme une nécessité pour donner à l'enfant un maximum de chances de s'intégrer dans son nouvel univers.
La famille vue par les adoptés Témoignages de Véronique et Marc
Deux adultes nous expliquent le rôle qu'a joué leur famille à différentes étapes de leur vie, pour leurs parents ou pour eux-mêmes.
Complexité et richesse des liens d'adoption Nino Rizzo
L'adoption est le point de rencontre entre deux manques mais aussi la rencontre entre deux désirs tout aussi forts que les manques qui les génèrent. Cette idée de départ est essentielle pour comprendre la manière dont les liens vont se tisser au cours de l'aventure familiale adoptive, et pour pouvoir suivre le fil au long duquel les liens vont se faire, puis se défaire... pour se refaire autrement.
Quand il n'y a pas de famille proche... Perpétua
Il est des circonstances de la vie, rares il est vrai, où les familles ne peuvent assurer le soutien sur lequel la plupart des parents aimeraient pouvoir compter. Comment faire dans ces cas-là ?
La famille adoptive au fil de l'évolution de la société. Et si la solidarité familiale était parfois insuffisante ? Mylone Rouanne
Entre l'évolution de la conception de la famille et les nouvelles configurations de la famille adoptive, l'entourage familial a-t-il l'expérience et le recul nécessaire pour apporter sa contribution ?
dimanche 15 juin 2014
Fin du blocus des adoptions en Russie pour l'Espagne!
Rusia ha autorizado por fin la firma del convenio de colaboración sobre adopciones con España, país que ya lo había aprobado el pasado mes de diciembre y que fija las condiciones y requisitos de las adopciones de menores rusos por parte de familias españolas. España será el primer país que llega a un acuerdo con la Federación Rusa sobre el texto del convenio de adopciones, a raíz de la modificación legislativa del Código de Familia ruso, realizada en julio de 2013.
El bloqueo de las adopciones ha afectado a unas 500 familias españolas, pero de ellas unas 150 ya tenían al niño asignado. Hay al menos dos parejas asturianas que, después de cumplimentar todos los trámites y de viajar a Rusia para conocer a su hijo, vieron cómo la política rompía todos los planes. En algunos casos, y a lo largo de estos últimos meses, jueces locales dieron a esos niños en tutela familiar a matrimonios rusos.
Desde que el pasado 20 de diciembre el Consejo de Ministros de España aprobara la firma del convenio sobre adopciones con Rusia, tras meses de intensa negociación, el Gobierno, a través del Ministerio de Asuntos Exteriores, no ha dejado de hacer gestiones para que este país diera luz verde al acuerdo. Se decía que Rusia iba a aprobar el convenio antes de que acabase 2013. No fue así. Finalmente, el primer ministro ruso, Dimitri Medvedev, ha autorizado la firma de este convenio en la reunión que celebró el Consejo de Ministros de Rusia el pasado jueves.
En España hay unos 12.000 menores rusos adoptados por familias españolas. El pasado año llegaron en adopción a familias españolas 479 menores. El coste medio de una adopción en Rusia es de 30.000 euros.
La Federación Rusa bloqueó el convenio porque, a su juicio, no se garantizaba que algún niño ruso no acabase bajo custodia de una pareja homosexual. El matrimonio homosexual no está legalizado en Rusia, país que lleva años de deriva homófoba.
En octubre del pasado año tuvo lugar en Madrid la última ronda de negociaciones, en la que España dio todas las garantías sobre el destino familiar de los niños rusos. Las familias se movilizaron en una asociación de afectados que logró reunir 35.000 firmas, que fueron entregadas en el Ministerio de Asuntos Exteriores, pidiendo un rápido desenlace de las negociaciones.
Fuentes diplomáticas señalaron ayer que la autorización de Rusia es una "muy buena noticia" y que esperan que el proceso "concluya lo antes posible", con el fin de que la entrada en vigor se produzca a la mayor brevedad posible. El convenio deberá ser refrendado por los parlamentos de ambos países, la Duma rusa y las Cortes españolas.
samedi 14 juin 2014
Stage bb
mercredi 11 juin 2014
Prochain rdv: 25/6
mardi 10 juin 2014
Visite Assistante Sociale: super!
lundi 9 juin 2014
200ème jour de processus d'adoption! Demain : visite de l'assistante sociale!
samedi 7 juin 2014
Adivina quién llama a la puerta. La aventura de ser un niño acogido
"Si no quieres cambiar tu vida, no leas este libro. Si no quieres que tu percepción de la infancia, de la paternidad, de la maternidad, de la marginalidad social infantil, en definitiva del amor, cambie, no leas este libro. Porque adentrarse en él es un ejercicio de alto riesgo, es abrir la ventana a un huracán de emociones humanas, tan auténticas e imborrables como incontrolables.
Mi agradecimiento hacia María Arauz de Robles es inmenso porque su obra es impresionante, impactante, adictiva y además escrita con enorme talento. No es fácil construir un relato imprimiéndole tanto suspense sin recurrir a situaciones o elementos extraordinarios, con una enorme economía de medios emocional. Apenas hay adjetivos, solo la desnuda y magistral exposición de las vidas de los niños y adultos que las han encarnado.
El libro recoge cinco historias reales de acogimiento familiar en Madrid.Cinco historias muy diferentes, cinco historias como muestra de otras muchas, que ocurren cotidianamente, solo posibles por un esforzado entramado de amor, generosidad y profesionalidad. Historias muy, muy cercanas, con las que nos podemos cruzar por la calle.
El acogimiento familiar parece de segunda categoría, todos sabemos lo que es la adopción, probablemente conozcamos a familias que han adoptado. Pero el acogimiento es mucho más desconocido y para mí, ¡rotundamente!, heroico. Heroico porque se basa en la provisionalidad, es decir en facilitar un núcleo familiar temporalmente, en la mayoría de los casos, ya que lo que se pretende es la reconstrucción de la familia biológica.
O lo que es lo mismo, entregarte sin defensas ni reservas a una criatura que todavía es mucho menos tuya que los hijos de la propia sangre. Supongo que una locura y un sinsentido para muchos de los que puedan estar leyendo estas líneas, pero creo que una locura absolutamente imprescindible para que podamos seguir perteneciendo al género humano, para que podamos seguir hablando de sociedades y civilizaciones humanas. Estas familias se convierten en eficaces barreras contra el desaliento y la desesperación existencial, son auténticas referencias para recuperar el aprecio-locura por la vida.