samedi 28 novembre 2015
Je suis allée voir : La Adopción
lundi 23 novembre 2015
Adopter un grand
Adopter un grand fait peur.. Peur de toute sa vie d'avant, des clichés que cela ne fonctionnera pas, ils deviendront des délinquants etc etc etc..
Heureusement qu'il y a des émissions comme celle ci qui montrent leur visage, et donne de la force à beaucoup de candidats à l'adoption de grands bouts de choux... En plus je suis fan de Chicoine :-)
vendredi 20 novembre 2015
Conferencia del Dr Jean-François Chicoine – 5 de noviembre 2015
En el desarrollo de la autoestima, hay varios pasos:
- El recién nacido debe sobrevivir a través del otro, por lo que debe seducir a su madre. Si no lo consigue, esto generará una subida de estrés que puede poner en peligro la relación con el adulto. Algunas enfermedades genéticas darán apetito reducido para estos niños para el apego, mientras que otra tabaco o drogas en los últimos meses del embarazo, incluyendo SAF (síndrome alcohólico fetal) van a dar más apetito a los niños.
- A 12 meses los bebés se regulan en sus relaciones con los adultos y comienzan a vivir las pequeñas frustraciones "Vengo y me voy" principio tratando de romper con el adulto.
- Sobre los 18-21 meses aparece el desarrollo de la memoria, la representación: es la experiencia del mundo o el modelo de trabajo interno.
-Entre 3 años y medio y 7 años, los niños irán hacia los demás, es la intersubjetividad, son más capaces de ver a los demás con empatía. También desarrollaron sus capacidades y habilidades sociales.
- Sobre los 7 años es la edad de inicio de la autoestima, el niño tiene la suficiente experiencia en las experiencias positivas y negativas para disfrutar de los momentos y entender el impacto de estas consecuencias. Antes de los 7 años debemos hacer todo lo posible para alcanzar esta madurez.
En nuestra sociedad se exige mucho a los niños antes de los 2 años y medio, por lo que no siempre son capaces, puede generar un fracaso a la edad de 7/8 años si el niño no ha desarrollado lo suficiente su autoestima. Los niños adoptados no han sido suficientemente lleno, no suficientemente castigado por la falta de relación y pueden desarrollar una baja autoestima, que no está vinculado a la genética o el hecho de que vienen de lejos. Es entonces necesario arrodillarse como adultos para llenarlos. Tenemos más tiempo para el trabajo de adopción, porque a menudo tienen retrasos en el desarrollo. Es generalmente la mitad de la edad cronológica del niño en adopción para asegurar el apego. La mejor arma es la remediación emocional permiso parental de larga duración.
Para proteger a nuestros hijos adoptados de esta baja autoestima, tenemos evitar la derrota, hay que alimentarles de éxitos en otras áreas que la escuela: los deportes, el dibujo, la música. El riesgo es tener un programa pesado, pero hay que encontrar elementos de éxito en extra-escolares. Después de 8 años los niños no deben repetir curso para evitar el sentido de derrota. Por otra parte, es mucho más importante tener amigos que tienen buenas notas escolares, es mucho más importante para la autoestima y la construcción.
A menudo en adopción, no hay problema de inteligencia del niño, pero si déficits en la atención, motivación, autonomía o madurez que cambiarán los resultados de pruebas de habilidad: subestimamos sus capacidades cognitiva.
Tenga en cuenta que los niños que experimentaron un episodio de la desnutrición en la infancia tienen razones cognitivas de autoestima por el logro de una parte del cerebro que se utiliza normalmente para la atención y la activación de la abstracción y flexibilidad Ideas. Entonces son peores en matemáticas y gramática.
De parte de los padres, ¿qué pistas existen para avanzar?
- En primer lugar la técnica del “aperitivo”, es necesario estar a su disposición 20 minutos ni más ni menos porque es físicamente significativo para el niño. El adulto no es él quien controla. Es el niño quien elige el juego y permitimos llenarse de nuestra disponibilidad.
La técnica de " wait, watch and wonder ": se construye una torre por el padre/madre y el niño y esperamos a que el niño pide ayuda, no es intrusiva, más físico y de disponibilidad emocional.
-Debemos ser “activantes”: tú le debes permitir. Por ejemplo, es muy importante que el niño tiene la capacidad de conciliar el sueño por sí mismo. El padre / madre debe estar allí, pero nunca traer de vuelta al niño en la cama de los padres. Uno puede tomar una silla junto a él en su habitación, pero hay que evitar que se duerma siempre en brazos. Se debe minimizar objetos transicionales en la cama: no miles de peluches.
Cuando en la adolescencia el niño no está al nivel que nos hubiera gustado conseguir, la falta de confianza puede ser importante, violenta, la destrucción de lo que es bello, el entorno familiar no es lo mejor. El apego es demasiado inseguro, la ruptura es demasiado grande. Debemos avanzar hacia un internado o una familia de acogida “fría” con reingreso gradual para rehabilitar la situación adoptiva.
mardi 17 novembre 2015
Se donner la chance d'être parent
" Voici l'histoire courte de mes adoptions
Il y a eu le désir de vouloir être mère. Le petit deuil de ne pas pouvoir en avoir biologiquement. Petit, parce qu'il a duré une journée. Après 24 heures, je me suis dit qu'être mère n'est pas synonyme de grossesse. Je voulais être mère, j'allais le devenir. J'ai regardé les options et j'ai choisi de ne pas aller au bout du monde pour trouver mes petits, mais d'adopter ici, au Québec.
Il y a eu les rencontres, les évaluations et l'attente.
L'attente dans le processus d'adoption, c'est la grossesse du cœur. On imagine le petit, on prépare sa venue, on s'imagine maman, on l'aime déjà, notre cœur grossit et finalement il arrive.
Mes enfants sont des petits marmots chocolat-québécois. Un par un, à deux ans d'intervalle, ils sont arrivés. Ils ont tous été attendus comme vous avez attendu les vôtres. Mes grossesses du cœur ont paru interminables, comme vos grossesses.
La vie avec mes enfants est comme la vôtre avec vos petits. Le même lien. Le même amour. La même ressemblance et les mêmes habitudes qui unissent ceux qui vivent ensemble. Je donnerais ma vie à, et pour mes enfants.
Ils n'ont pas de chance d'être mes enfants, j'ai la plus grande chance du monde de les avoir dans ma vie. Toutes les femmes qui rêvent d'être mères seraient heureuses avec mes petits. La chance, c'est moi qui l'ai. C'est moi qui suis infiniment reconnaissante.
L'adoption, c'est la plus belle chose de ma vie. En ce mois de l'adoption, plus spécialement, chaque matin, je remercie la vie d'avoir eu cette chance. Les quatre enfants de ma famille (mon mari avait déjà un fils) sont frères et sœurs au même titre que vos enfants. Ils sont surement encore plus proches les uns des autres parce qu'ils se sont accroché les uns aux autres avec une force si grande, la force qui vient après qu'on eut été déraciné.
Notre famille est tissée serrée de liens que nous avons nous-mêmes créés avec beaucoup de temps et d'épreuves. Ensemble, pour chacun de nos enfants, nous avons surmonté les défis de l'attachement.
Parce que l'adoption amène ses défis. Chaque parent concerné a relevé des défis différents que seuls les parents adoptifs peuvent comprendre. Les défis d'une vie. Les défis auxquels personne ne nous prépare, les défis qu'on relève les yeux pleins de larmes. Les défis que jamais on ne se serait cru capable de relever.
L'attachement qui n'est pas aussi naturel. L'attachement qui prend son temps. L'attachement qui vient doucement. L'attachement qui vient après des pleurs, des peurs et du temps. L'attachement qui vient quand on s'y attend le moins. L'enfant qui n'a pas vécu la douceur des berceuses. L'enfant qui n'a pas eu la sécurité et l'amour. L'enfant qui porte une petite valise remplie de petites histoires qui ne sont pas roses, ni de son âge.
Adopter un enfant, c'est accepter de trainer avec lui cette valise, parfois lourde, d'un passé difficile. Puis de tranquillement la vider, au fil du temps, pour pouvoir, ensemble la laisser derrière. Parfois, la valise, on la portera toute la vie. Pour ne pas laisser notre enfant seul dans cette histoire, on s'appropriera aussi cette valise. Toute la vie, à bout de bras, on l'aiderait pour qu'elle soit moins lourde et qu'il l'oublie.
Adopter, c'est marchander avec la vie. C'est vouloir prendre sur ses épaules toutes les misères passées de son enfant. C'est se demander des milliers de pourquoi.
Pourquoi lui? Pourquoi un enfant a-t-il vécu cela? Pourquoi il n'était pas là avant? Pourquoi? Pourquoi?
Adopter, c'est aussi une montagne de questions sans réponse.
Adopter, c'est faire face à des préjugés. C'est faire face à des questions indiscrètes, à des questions qu'on ne veut plus entendre.
Adopter, c'est ouvrir son cœur à un petit inconnu. Un petit inconnu qui a peur, qui ne se laisse pas aimer tout de suite, qui nous teste, qui teste la vie. Qui teste si la vie va encore l'abandonner dans les moments difficiles.
Adopter, c'est se rendre compte qu'on aime plus que ce que l'on croyait possible. Adopter, c'est se rendre compte qu'être parent n'est pas une question de liens de sang, mais de liens d'amour.
Adopter, c'est se donner la chance d'être parent."
Je n'ai rien à ajouter .. Tout est dit par Blanca! Merci
mercredi 11 novembre 2015
Film " Adoption"
lundi 9 novembre 2015
Naissance "Primer Paso a la Esperanza"
mardi 3 novembre 2015
Our many voices
Adoption, le choix des nations - Arte Thema
Non, nous n'avons pas reçu notre assignation ! Et le moral est au beau fixe (aujourd'hui en tous cas!)
Je te parlerai bientôt de deux magnifiques projets: le lancement d'une association de parents par adoption et de mon amie, génie de photographie, qui met en place son projet (avec toujours une pensée pour les familles de cœur!). Aussi d'un film qui sort bientôt en Espagne, que j'hésite pas mal à voir (centré sur la corruption en adoption dans un pays de l'Est...)
Mais aujourd'hui je suis contente d'avoir trouvé le reportage de Thema de la semaine dernière en ligne, et au cas on il disparaisse, voici le lien http://documentairefr.com/2015/10/29/adoption-le-choix-des-nations-documentaire-2015/ à regarder au plus vite.
N'habitant pas en France, le thème de la limitation territoriale de certains programme est, avec le manque crucial de bon pain, une des principales frustrations des expatriés français! D'où mon bonheur de la trouvaille !
Je divague.. Le reportage est assez intéressant, même si il était très "AFA". Aucune OAA, aucune association, quelques petites erreurs ou manque de précision (du haut de mon humble connaissance du sujet). Peut être que le documentaire a été tourné par ou pour l'AFA, mais ils y laissent une bonne image. J'espère que la réalité est semblable pour toi si tu adoptes à travers eux. Qu'en penses-tu ?