vendredi 30 janvier 2015

Hijo, ¿por qué estás en Polonia?

Ou en français: "Mon enfant, pourquoi es-tu en Pologne?"
Cette fois ce n'est pas une question pour Kamil@... Mais le titre d'un livre de Montserrat Cornet i Planells, une grande dame auteure de livres et pièces de théâtre de Barcelone. 

L'association polaco-barcelonaise où nous allons commencer nos cours de polonais en marzo, m'a invité à assister à la présentation de ce livre jeudi. Nous étions une quinzaine et la présention était plus une explication des expériences qu'elle avait vécu en Pologne ; à travers de son fils qui vit là -bas depuis plus de 40 ans, et ses voyages pour rendre visite à son fils et ses petits enfants. Discours remplis d'anecdotes et dures de la période communiste.

Même si je ne m'attendais pas du tout à une rencontre si informelle, j'ai passé un moment très agréable.

Nous pouvions facilement poser des questions et ce fût donc intéressant.
Montserrat a énormément voyagé, elle est intelligente et ouverte d'esprit. 
Le livre existe un français, anglais, espagnol, catalan et polonais; pour qui serait intéressé.. Elle nous a gentillement offert et dédicacé un exemplaire ainsi que pour mes deux amies qui feront le cours avec nous.

Pour le reste, pas grand chose de neuf. Il semble qu'il n'y a aucune assignation de notre agence pour la Pologne en janvier.. On attend les statistiques mais surtout j'espère que la liste avance (lentement mais sûrement...). Douce et longue attente...

dimanche 25 janvier 2015

12 ans

12 ans déjà que mon beau colloc italien qui me cuisinait des bons petits plats s'est transformé en mon amoureux que j'aime à la folie! 12 ans que nous vivons intensément la vie, ses épreuves (pas forcément agréables) et surtout des moments magiques et remplis d'amour.. 


12 ans de rires, de larmes, de voyages et d'aventures.. Des centaines de situations où on ne se comprenait pas, par manque de langue commune ou des idées opposées.. Maintenant nous faisons des fois semblant que ça nous arrive, pour se piquer et avoir un peu d'adrénaline.. Une dispute pour avoir oublié le pain.. Dramatique !

Un jour tu m'as fait une déclaration d'amour que je n'oublierai jamais, et qui colle parfaitement à ton humour...


Kamil@, tu verras, l'humour décalé de ton papa est irrésistible 😀


La femme du Veme

Pas un film sur l'adoption, mais une touche polonaise...

La Femme du Vème est un film franco-britannico-polonais réalisé par Paweł Pawlikowski, et sorti en 2011. Il s'agit de l'adaptation du roman La Femme du Vᵉ de Douglas Kennedy, publié en 2007.


Tom Ricks, romancier américain, la quarantaine, vient à Paris dans l’espoir de renouer avec sa fille. Mais rien ne se passe comme prévu : démuni, logé dans un hôtel miteux, il se retrouve contraint de travailler comme gardien de nuit.
Alors qu’il croit toucher le fond, Margit, sensuelle et mystérieuse, fait irruption dans sa vie. Leur relation passionnée déclenche une série d’évènements inexplicables, comme si une force obscure prenait le contrôle de sa vie.

Sincèrement je crois ne pas avoir bien compris le film.. J'ai eu du mal à le suivre et je n'ai rien compris à la chute...

Mais la photographie est intéressante, et j'aime bien ces acteurs... Tu l'as vu?

samedi 24 janvier 2015

Mon petit prince ...

....ou princesse... Je pense tellement à toi, je nous imagine dans les scènes de tous les jours tous les trois, à te faire découvrir les fruits et légumes du marché, jouer au parc, te lire un conte avant de dormir, faire un câlin au réveil, ranger tes jouets, chanter des comptines... Tout... Je vis avec une pensée à chaque instant pour toi...

Certains diront que ce n'est pas sain, que je devrais profiter de la vie jusqu'à ton arrivée... Quelle connerie! Ils ne sont sûrement pas en désir d'enfant et croient avoir réponse à tout! Tu apprendras, petit bout, que l'on se fiche bien que ce que les "gens" pensent.. Mais ça, c'est une autre histoire!

Nous t'attendons chacun à sa manière, plus ou moins obsessionnelle, mais avec le coeur rempli de joie et d'amour pour toi! 

Dans un peu plus d'un mois nous commençons des cours de polonais, dans l'espoir de pouvoir te comprendre et que tu n'aies pas trop peur de ces étrangers tous nerveux dont tu ne comprendras leur langue... 

Le BJB va prendre forme également, dés que les retardataires enverront les derniers coupons. On s'occupe, on pense à toi!

vendredi 23 janvier 2015

BJB#56-57

Aujourd'hui ma collègue et amie Mila m'a offert ces deux jolis coupons, plein d'amour !
Elle suit depuis longtemps mes péripéties Fiv et adoption; m'a vu pleine d'illusions et en larmes beaucoup de fois (ces moments rapprochent!); a galèré elle-aussi pour être maman. Elle attend maintenant un petit mec qui devrait arriver un peu avant Kamil@. Nous serons donc en congé maternité sûrement en même temps!
Merci guapetona !!


dimanche 18 janvier 2015

15 concepts basiques sur l'adoption

Article très intéressant envoyé par Elena (merci!). Il est parfois, souvent, compliqué de trouver des informations simples et claires, sans fausses idées reçues sur l'adoption. Cet article résume parfaitement les principaux concepts. 

Bonne lecture (en espagnol!)




Pese a que no hay dos adopciones iguales, estos conceptos son fundamentales para entender su fin

Este artículo plantea 15 ideas claves para comprender la adopción actual y la futura. Son reflexiones de Félix Loizaga, catedrático en Psicología y profesor de la Universidad de Deusto y gran experto en el tema, sobre el que ha escrito decenas de artículos y numerosos libros, y para quien la adopción, «sigue siendo la mejor medida de protección para el menor». «Pese a que cada historia es diferente, y no hay dos adopciones iguales», remarca. «Y pese a que todos los adoptados tienen que realizar un sobre-esfuerzo emocional que en el caso de las personas de etnias diferentes es aún mayor. Pese a todo», advierte. 

Estas son las 15 ideas básicas según Loizaga para entender la realidad de la adopción en la actualidad:

1. La historia humana siempre ha tenido adopciones. El origen: conflicto humano, pobreza y malas condiciones de salud. La adopción ha existido desde el inicio de la Humanidad. Las condiciones de salud (afianzadas a lo largo del siglo XX), los conflictos sociales (continuas guerras en la Historia Humana), la pobreza (existente todavía hoy en día) y la falta de medios contraceptivos (estos aparecen a mediados del siglo XX) dejaban a muchos niños sin sus madres y/o padres necesitados de cuidados. 

Pero el desarrollo de la adopción en los países occidentales, tal y como lo entendemos actualmente, está asociado a las guerras, donde las personas supervivientes a los conflictos bélicos asumen la adopción de niños cercanos a ellos. Una manera de adoptar muy diferente a la actual al menos en su origen.

2. La adopción de los últimos 25 años tiene por base la infertilidad, la nueva visión de la mujer y el deseo de completar la familia con hijos (a poder ser muy pequeños y sanos)

Si tenemos en cuenta que el número de menores por familia es muy bajo y que cerca del 10% de las parejas tienen dificultades para tener hijos (por métodos naturales o por métodos médicos) tomaremos conciencia que la escasez de menores en algunas sociedades llega incluso a ser un problema demográfico. Además la idea de familia nuclear convencional (padre – madre – hijos) ha calado en muchas parejas que desean tener sus hijos biológicos o sus hijos adoptados para sentirse familia. Pero a su vez la maternidad monoparental lleva a algunas mujeres a buscar en la adopción una manera de crear una nueva familia sin necesidad de contar con un hombre. A pesar de lo que puede parecer, para los sistemas de protección del estado es un problema colocar en familias a menores que tienen: a) más edad b) hermanos/as y c) sobre todo aquellos que tienen necesidades educativas especiales

Puesto que esto ha sido complicado en los últimos años, y entre otros motivos, muchas familias adoptantes han recurrido a la adopción internacional. Pero no todos los países del mundo desarrollado han visto de la misma manera la adopción internacional. Paradójicamente a lo ocurrido en España (donde la adopción mayoritaria se realiza fuera) otros países no asesoran activamente este tipo de adopción, por ejemplo el Reino Unido (entre otros), pues consideran que los menores de sus sistemas tienen prioridad sobre la adopción internacional. Este tipo de enfoque que da preferencia a la atención de los menores en riesgo del propio país debiera hacernos pensar en profundidad.

3. Adopciones en plural. Cada adopción tiene su historia, no son buenas las generalizaciones.

No hay dos adopciones iguales. Las historias de las personas adoptadas varían por completo. Comprender la adopción es entender a cada persona adoptada y a cada familia adoptante de manera única. Igual que para cualquier familiaHay personas adoptadas que vinieron con otro hermano. De etnias diferentes o iguales a las familias adoptantes. Personas adoptadas a diferente edad y con distinto nivel de sufrimiento y protección. Algunos habían sido cuidados (mejor o peor) por sus familias biológicas. Otros vivieron en centros de acogida o en orfanatos (algunos muy buenos y otros muy malos). Algunos sufrieron fuertemente, mientras que otros fueron bien cuidados por sus educadores que casi hacían de verdadera madre / padre. Otros tuvieron familias de urgencia que les atendieron con una intensidad tan positiva que nadie hubiera podido hacerlo mejor que ellos en los primeros meses de vida hasta que fueron dados en adopción. Las familias adoptantes son tan diferentes como las sociedades que adoptan. En este sentido coinciden con el resto de las familias: las hay convencionales, monoparentales y homoparentales. Las hay casadas, separadas o divorciadas. Con problemas de fertilidad o con hijos biológicos. Con trabajo o en paro...

4. Las familias adoptantes deben asumir un sobre esfuerzo 

El universo mental del niño adoptado es diferente. Los niños adoptados deben recomponer en su psiquismo las conductas de abandono y sufrimiento originadas desde su familia biológica y / o donante, la necesidad (a veces imperiosa) de las familias adoptivas de tener descendencia y sobre todo la fuerte necesidad de integrar dentro de ellos mismos, espacios desconocidos, que afectan a la identidad de su psiquismo.

Fácilmente podemos darnos cuenta que estos niños y niñas, junto con sus diferentes familias (biológicas y / o donantes y adoptivas) deben asumir un sobreesfuerzo emocional. Mientras que las familias biológicas asumen pérdidas, culpabilidades y dolor emocional; las familias adoptantes deben reelaborar junto a sus hijos adoptivos la integración global de un psiquismo originalmente dañado. Todos estos sobreesfuerzos afectan al comportamiento del adoptado, a sus conductas y a la adaptabilidad. El sobreesfuerzo ocupa un lugar en la vida del adoptado que no ocupa en el resto de los niños. 

5. La adopción sigue siendo la mejor medida de protección para los menores. 

La adopción siempre ha sido la mejor alternativa para el cuidado de menores pues proporciona estabilidad familiar y cuidados que desarrollan íntegramente al menor. Las instituciones deberán continuar trabajando en profundidad con las familias las necesidades preadoptivas y postadoptivas, pues estas familias ejercen en el estado una importante acción social.

Las familias idóneas deberán tener: a) tolerancia importante a la frustración b) un conocimiento básico de lo que será la condición adoptiva c) una buena sintonía para cuidar – educar y d) una capacidad para limitar al menor. En otras palabras: un mínimo de madurez consigo mismo, un apego lo más seguro posible y un nivel de realismo adecuado con la vida. Puesto que se exige la evaluación de la idoneidad para ser familia adoptante los criterios anteriores deberían ser tenidos claramente en cuenta.

6. En un mundo globalizado, los países donantes de menores y los países receptores deberán asumir un coste emocional. Desprenderse de un hijo no es fácil para nadie. 

Cuando esto ha ocurrido se debe a la dificultad para cuidar con madurez al menor por parte de las familias biológicas extensas. Catástrofes, guerras, violencia social, pobreza y falta de educación / cultura se encuentran a la base de las familias biológicas que optan por dar en adopción a un hijo. Pero también violencia intrafamiliar, machismo, drogadicción, opresión y enfermedad mental. Una cruda realidad para todos: sociedad, países, sistemas de protección, familias biológicas, familias adoptantes y en especial para los propios adoptados. La realidad nos dice que los países donantes de adopción son países con rentas muy bajas, económicamente pobres, culturalmente poco formados y sin políticas de género, y los países receptores de adopción son países avanzados, con mayores tasas de infertilidad asociadas al progreso.

7. Menores adoptados nacionales y menores adoptados internacionales. 

¿Difieren mucho en sus necesidades educativas? Las investigaciones ya han demostrado que no es tanto la edad de la adopción, sino el sufrimiento físico y la traumatización emocional la que condiciona la salud posterior de las personas adoptadas y su repercusión en la educación de la familia adoptante (Urrutia, Loizaga, Ballús 2014). El sufrimiento físico y la traumatización emocional ocurre en cualquier país desarrollado o en vías de desarrollo. La negligencia, la humillación, el abandono y la traumatización existen en todos los lugares. Pensar que adoptar fuera del estado evitará estas cuestiones es un pensamiento ingenuo. 

La teoría del apego y la propia neurociencia ha demostrado que las necesidades educativas especiales que necesitará un menor son proporcionales a las carencias físicas – salud y sobre todo al daño emocional y el trauma que ha vivido. Y esto al margen de ser personas adoptadas o no adoptadas (Barudy y Dantagnan 2010).

8. Adopciones abiertas: solo cuando las familias biológicas tienen un mínimo de madurez.

La adopción abierta es entendida como una forma específica de adoptarLas familias adoptantes, referentes principales de la educación del menor, asumen que pueden / deben relacionar a su hijo con su familia biológica. Estos encuentros suelen estar mediados por personas expertas en temas de familia. En estos espacios de encuentro afloran emociones que unas y otras familias (biológicas, adoptantes y adoptados) deben elaborar. 

No todas las familias biológicas tienen madurez para estos encuentros. En estos casos es más correcto que el encuentro entre familias no se produzca pues las repercusiones negativas son claramente superiores a las positivas. Incluso es posible que el menor adoptado no desee los encuentros al no verse con la capacidad suficiente para afrontarlos. Es responsabilidad de los servicios de protección evaluar los riesgos de la adopción abierta.

9. Entender la adopción obliga a pensar en varias familias al tiempo.

Usted pensará que se trata de dos familias: una familia adoptante y una familia biológica. Y hasta cierto punto es verdad. Pero posiblemente pueda haber más familias, especialmente cuanto más avanzan los años de convivencia de la pareja y el adoptado va siendo más adulto. Se aproximan momentos emocionantes para las personas que se dedican al estudio de las familias. Y procesos complicados para quienes deseen entender el concepto de familia como familias convencionales.

10. Las nuevas tecnologías afectarán a los procesos adoptivos, especialmente a la búsqueda de orígenes.

En un mundo globalizado, con Internet y Redes Sociales, es impensable que una actividad humana no se encuentre influida por ellas. Algunos países colocan en Internet a los menores propuestos para acogimiento o adopción (por ejemplo en países de la órbita anglo – sajona - estadounidense) indicando edades, características personales de los menores, características...con notable éxito para los sistemas de protección.

Muchas personas adoptadas, especialmente jóvenes y adultos, conectan con foros para compartir información, sentimientos y propuestas sobre sus intereses de adopción. Hay foros específicos para la búsqueda de sus familias biológicas (especialmente para la búsqueda de hermanos y madres biológicas). Pero los menores, especialmente a partir de los 10 años (e incluso antes) en nuestros país, comienzan a entrar en Internet y posteriormente en Redes Sociales. En ocasiones oímos que los propios adolescentes se han adelantado a sus familias en la búsqueda de orígenes. Y las familias adoptantes asumen más tarde los sucesos.

Puesto que Internet y las Redes Sociales están tan presentes en los países desarrollados (que son quienes adoptan internacionalmente) deberíamos asumir en familia las comunicaciones abiertas, sinceras, y ajustadas a la edad del menor. Ocultar en este contexto global tiene poco valor e incluso complicará a las familias adoptantes. El concepto de ocultar para proteger puede ser contraproducente en una sociedad como la nuestra donde las personas adoptadas conocen su condición desde el principio de su vida en la familia adoptante.

Por otra parte algunas familias biológicas (mejoradas en su salud, madurez o riesgo) han tomado con interés la búsqueda de sus hijos biológicos. También se están agrupando para esta búsqueda. Será imposible el control de estas situaciones desde las familias adoptivas que deberán asumir la gran probabilidad de que ocurran sucesos de búsqueda de orígenes no gestionados desde ellas mismas.

11. Espacios intermedios para los momentos difíciles y complicados de algunos menores traumatizados.

En la adolescencia (a veces ya en la preadolescencia o juventud) los conflictos y la presión en las familias se hace difícil de soportar, incluso habiendo buscado orientación o terapia profesional. Puede ser bueno que otros familiares abran sus puertas acogiendo durante temporadas a los menores, permitiendo idas y venidas que ayudan a situar las emociones traumatizadas y las conversaciones de dolor... ayudando a reelaborar las relaciones pasadas y presentes en las mentes de los adoptados y de sus familias.

Los sistemas de protección para casos excepcionalmente complicados pueden apoyarse en educadores sociales que actúan directamente en los propios hogares y en técnicas de terapia familiar más creativas y menos convencionales. 

12. El tercer espacio. Los adoptados interétnicos realizarán un sobre – esfuerzo sobre el sobre – esfuerzo.

Muchas adopciones son interétnicas y los cuerpos de las personas adoptadas no se corresponden con el modelo físico dominante de la sociedad en que están inmersos. Sin embargo las personas adoptadas son hijos directos y de pleno derecho de los países en que han sido adoptados. Puesto que el género y el cuerpo configuran el primer esquema de las relaciones entre las personas humanas, los adoptados provenientes de otros continentes que no concuerdan con el modelo físico dominante deberán asumir a lo largo de su vida esta peculiaridad en su identidad adoptiva. 

13. Padres y madres con números. Todos aportan algo.

El dicho de «madre no hay más que una»puede ser un perjuicio si creemos que la verdadera madre es aquella que nos ha llevado en su vientre. Lejos de la realidad la M1 (madre 1) es la mujer que nos nutre, nos cuida, nos estimula, nos protege y nos quiere. Y en las personas adoptadas esta M1 no coincide con la M2 (madre biológica), aunque la M2 aportó un espacio en su vientre durante meses para que pudiera el menor venir al mundo sin renunciar a la eliminación de la vida y, además, aportó las características físicas.

14. Un hijo es mucho más que un buen estudiante

Muchas familias adoptantes tienen estudios superiores y han dedicado parte de su vida a los estudios (Loizaga -Dir.- 2009). El estudio ha centrado su vida y muchos de los logros profesionales y académicos han sido consecuencia de ello. Sabemos que se complica la vida familiar cuando las calificaciones escolares son deficientes. Las investigaciones muestran una gran relación entre el rendimiento escolar y las relaciones familiares (Loizaga 2010).

Para cualquier menor el rendimiento escolar es parte de su autoestima y de sus logros, que además son cuantificables con un valor numérico por escuelas. Y los estudios sobre adopción ponen de manifiesto que la población adoptada tiene mayor fracaso escolar (medido en repeticiones de cursos) y mayor disfunción externalizante (especialmente déficit de atención y/o hiperactividad). Pero que las familias adoptantes ayuden a mejorar el rendimiento escolar no puede ser incompatible con dejar de potenciar facetas marcadas de la madurez del menor. Algunos destacan por cualidades que claramente superan todo el valor cognitivo del estudio: buen humor, sociabilidad, capacidad de ayuda, solidaridad, capacidad de trabajo... El menor necesita ser reconocido en estos otros valores. La exigencia por el estudio no debe nublar el apoyo personal sincero en estas otras facetas. 

15. La primeros años de la infancia no determinan la vida

La psicología y la neurociencia han demostrado que los primeros años de vida son muy importantes para la salud física, psíquica y social de las personas (Barudy 2010). Los buenos tratos son indispensables para el apego y los vínculos futuros. Pero también las ciencias sociales y de la salud han confirmado que los menores tienen la suficiente plasticidad como para avanzar progresivamente cuando el trato recibido de otros adultos es coherente, previsible y seguro (Palacios 2012).

vendredi 16 janvier 2015

Ida

Un beau film, profond, avec une photographie superbe, parlant de l'abandon, des racines, des origines, de la Pologne... Que demander de plus?! Un film à ne pas manquer. Et oui.. Quelques larmes ont coulé.. 


Ida est un film dramatique polonais réalisé par Paweł Pawlikowski, sorti en 2013.

Le film a été sélectionné pour représenter la Pologne à l'Oscar du meilleur film de langue étrangère lors de la 87eme cérémonie des Oscars en 2015.

Synopsis :

Pologne, 1962, sœur Anna, orpheline très pieuse, s'apprête à prononcer ses vœux définitifs. La Mère supérieure l'incite à sortir quelques jours de l'austère couvent où elle vit une existence de silence depuis qu'elle y a été recueillie enfant.

Elle retrouve une tante inconnue, ancien procureur stalinien tombé dans l'alcool, qui lui révèle ses origines juives. Toutes deux partent à travers la campagne afin de comprendre ce qui est advenu de ses parents sous l’occupation nazie. Au village où ils vivaient, l'omerta règne, nul n'avoue connaître les Lebenstein.

À mesure que le mystère se lève, Ida découvre la vie hors du couvent, la faiblesse des Hommes, la musique, grâce à un groupe de jazz qui fait sonner Coltrane au fin fond de la campagne.


Génération Mei-Ming


Pour continuer sur le thème adolescence, abondon, etc... A voir et à méditer !
Le documentaire raconte l'histoire de six jeunes filles chinoises - espagnoles adoptées de douze à dix-sept ans, dans leurs relations avec leur famille et l'environnement dans lequel elles vivent.
" En Chine j'ai es traits mais pas la langue . En Espagne j'ai la langue, mais je n'ai pas les traits . Donc, je suis bizarre dans les deux pays " , dit Marina , une jeune chinoise sévillane de dix-sept ans , qui a réussi à obtenir le meilleur des deux cultures et est à l'aise dans son pays d'origine et qui celui d'accueil.
Cependant , ce n'est pas le sentiment de la majorité des 18 000 adoptées chinoises qui sont venues en Espagne depuis environ vingt ans. La mise en œuvre de la loi d'un enfant unique en Chine , a augmenté le nombre d'enfants abandonnés dans les orphelinats . ' Documents TV' fait écho à cette dure réalité en 1995 avec le documentaire « Les chambres de la mort " [voir lien http://looking4ourchild.blogspot.com.es/2014/03/reportage-dying-rooms-les-chambres-de.html?m=0 ] , qui a conduit à un boom des adoptions en Chine à la fin des années 90 . En quelques années , l'Espagne est devenue le deuxième pays avec le taux le plus élevé d'enfants chinois entre nos familles.
Connu pour la «génération Mei - Ming » ou génération sans nom, beaucoup sont maintenant des adolescents et dans cette étape complexe , entre ses sentiments d'abandon et le manque de compréhension de leurs parents biologiques et les défis auxquels ils font face dans le monde occidental où ils vivent.
" Je ne veux pas être chinois, je veux être espagnole, ne pas être différent . Je veux être comme tout le monde », a déclaré Estela , douze ans et qui a rencontré des problèmes de racisme dans leur école, où elle est la seule fille chinoise .
Le documentaire montre cœur ouvert les sentiments des protagonistes et une pièce de vie, après l'adoption.
Contenu disponible jusqu'au 27/01/2015
http://www.rtve.es/m/alacarta/videos/documentos-tv/documentos-tv-generacion-mei-ming/2950045/?media=tve




jeudi 15 janvier 2015

BJB#53-55

Ceux-ci nous viennent de notre amie Mirta, adorable et rigolote copine que nous connaissons depuis notre arrivée à Bcn.
Ces tissus la représentent parfaitement!


Joyeux vendredi !

Le mythe de l'abandon en adoption

La question de l'abandon est une crainte/doute/peur récurrente chez les parents adoptants (et les futurs!).. Comment assumer son histoire aussi dure qu'elle puisse être? Et comment surtout l'expliquer à notre enfant sans qui se sente mal, qu'il puisse l'assumer, l'intégrer comme ses racines sainement.. Un défit!

Il y a une web espagnole "Adopción Punto de Encuentro " es fait par des mamans ayant adopté et dirigée aux futurs / parents adoptant.  Aujourd'hui ils ont mis en ligne une analyse très intéressante de Andoni Mendia, psychothérapeute spécialiste de l'adoption :

http://adopcionpuntodeencuentro.com/web/el-mito-del-abandono-en-la-adopcion/

Le texte est en espagnol, mais je t'invite à le traduire avec google si tu ne le comprend pas, car il vaut la peine!
Bonne lecture!


mardi 13 janvier 2015

SAF

Le Syndrome d'Alcoolisme Fetal, appelé SAF, est la conséquence de l'absorption d'alcool pendant la grossesse. Les femmes qui décident ou sont contraintes à abandonner leur enfants font parties de la population à risque ayant de grande probabilité d'avoir bu pendant la grossesse. La probabilité augmente dans les pays où l'alcool est "culturel", comme l'Europe du Nord et les pays de l'Est. Dont la Pologne. Mais la France ou l'Espagne ne sont pas excluses de la liste!

Les conséquences sur le fœtus peuvent être diverses et dans certains cas très grave: violence, problèmes mentaux, de socialisation, hyperactivitée, croissance ainsi que des défaillances sur des organes vitaux.

En ce qui concerne l'adoption, lors du premier voyage après l'apparentement il est vivement conseillé aux futurs parents de prendre des photos, des vidéos, et d'évaluer les enfants par des jeux afin que les spécialistes donnent leurs diagnostiques avant l'acceptation définitive de l'adoption.

Ce syndrome fait peur mais heureusement qu'il y a de très bons spécialistes en Espagne qui conseillent les familles sur ce thème.

Aujourd'hui dans le quotidien LaVanguardia, il y a un article très intéressant sur le sujet (en espagnol): http://www.lavanguardia.com/vida/20150113/54423279406/alerta-aumento-adopciones-este-saf.html (merci chéri de trouver trouver des infos intéressantes !).

L'important est d'avoir le maximum d'informations sur le dossier médical de notre enfant, et de pouvoir décider avec toutes les cartes en mains.

J'espère juste que la mère biologique de Kamil@ n'abuse/n'abusait/n'abusera pas (qui sait si il est déjà né.. Moi je pense que oui...) de la bouteille.. Elle fait plus de ravages que d'autres éléments toxiques...



samedi 10 janvier 2015

Premier essai couture

En attendant de savoir me servir de la machine à coudre, et ayant préparé les coupons, maintenant lavés, repassés, découpés et marqués... J'ai profité des chutes pour faire le premier coussin pour Kamil@
Rembouré comme les lapins, il est petit, doux et attend sagement à Kamil@!



BJB#51-52

Encore de jolis tissu :-)
Le premier est de ma collègue de travail, avec de jolies girafes peintres et des vœux pleins d'amour :


Le deuxième vient de Laura, une jolie future maman en attente d'une assignation en Éthiopie. De très belles couleurs et une jolie carte pleine d'émotions ! J'espère que la situation va bientôt se débloquer pour vous et vous que recevrez bientôt l'appel magique !


Merci pour le soutien !





mercredi 7 janvier 2015

Je suis Charlie

Ce n'est pas dans mes habitudes d'aborder des thèmes hors adoption sur ce blog, mais aujourd'hui je suis choquée par la fusillade à Charlie Hebdo.

Je n'aime pas particulièrement ce journal, je trouve qu'ils vont souvent trop loin, mais notre liberté d'expression a été ébranlée. Dans quel monde vont grandir nos enfants?! 


Au Consulat de France se sont rassemblaient environ 500 personnes, la grande majorité d'entres elle émues et en larmes. Depuis ici, nos cœurs sont solidaires avec les familles des victimes, avec la liberté de la presse et d'expression. Les extrémistes ne gagneront pas, la violence ne gagnera pas.

Aujourd'hui nous sommes tous Charlie.

samedi 3 janvier 2015

Escapade à la Dali

2 jours d'escapade dans la Catalogne avec la famille, géniales, et bonne déconnection ! Cela a été parfait vu que nous sommes restés à Bcn pour les fêtes uniquement avec les jours fériés de libre pour moi; et comme ça la famille a pu voir plein de belles choses nouvelles : Girone, Figueres et Cadaques. 2 jours de culture, d'art, et une agréable soirée avec un ami de mes études 😊 
Dali est mon peintre préféré, ainsi que celui de ma belle-mère, donc nous étions ravies 😍

Le moral est bon, nous attendons tous les statistiques d'assignations et jugements de notre agence pour savoir si la liste avance... À suivre !

jeudi 1 janvier 2015

Jeux de main...

Avant de me lancer dans le BJB, j'ai eu une demande last minute d'un lapin en peluche, fait en temps record.. Et le résultat n'est plutôt pas mal! 
Celui de droite était le cadeau de Noël de ma filleule, une version plus féminisée! ☺️
Avec son grand frère, premier de la série :


Les prochains je changerai d'animal... Tu as des modèles à me partager???

Il faut avouer que je ne suis pas à mon premier essai : celui ci date d'il y a plus d'un an.. Je viens de loin! Sans commentaire stp... Oui: c'était mon premier lapin!!

Le crochet est sympa, mais j'ai aussi mes periodes points de croix et couture...


Au sujet du BJB, j'ai commencé à laver les coupons, et il faut que je me lance - j'ai sincèrement peur de mal le faire et de gâcher des coupons.... Mais je vais me lancer!!